| | Même les plus belles créatures regorgent de sang [Charlie] | |
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Invité Invité
| Sujet: Même les plus belles créatures regorgent de sang [Charlie] Lun 19 Mar - 9:38 | |
| Le sang. La nourriture essentielle pour tenir un vampire en vie. J’aime le sang, je le consomme d’ailleurs en grande quantité bien que mon organisme n’en ait pas forcément besoin. Ce que je préfère surtout, c’est bien évidemment la chasse. Sentir le pouls de mes victimes s’accélérer, entendre leur cœur cogner contre leur torse, savourer ce cri d’horreur à chaque fois que je plante mes canines dans leur cou. Si certains préfèrent hypnotiser afin de se nourrir en paix, moi je préfère l’art de la véritable traque, celui ou la victime est parfaitement consciente de sa situation et cherche par tous les moyens à s’en sortir. Certes il m’est arrivé quelques fois de les hypnotiser, mais seulement parce que je me trouvais dans un lieu rempli d’un tas de petits humains et que je n’aimais pas être interrompu durant mes repas. Aujourd’hui encore la chasse continuait, et ma victime n’était autre qu’une jeune lycéenne en train de m’aguicher pour m’ajouter à sa liste de garçons conquis. Rien qu’en jetant un coup d’œil à sa tenue, je savais déjà que je pourrais facilement l’emmener dans mon lit, mais j’avais faim, alors la partie de jambes en l’air ne rivaliserait pas avec mon envie de sang. Alors que le soleil était à son zénith, moi, je me trouvais dans une petite ruelle avec cette adolescente, et lui donnais des baisers plutôt fougueux qu’elle semblait apprécier. Ma bouche descend ensuite jusqu’à son cou, et alors qu’elle s’attendait à ce que je l’embrasse, mes canines se plantent dans sa finie peau et je peux enfin goûter à son sang. Un sang horriblement repoussant...
- Verveine...
Alors comme ça cette demoiselle avait été protégée des vampires. Le sang que j’ai avalé me brûle la gorge, une sensation que je déteste et que je compte bien lui faire payer. Alors que je la blesse à son bras droit, celle-ci, après avoir poussé un hurlement de terreur, sort de je ne sais où un pieu et me le plante à l’épaule avant de s’échapper en courant. Bien. Que la traque commence. J’arrache le pieu de mon épaule et quitte cette ruelle afin de la rattraper. Mes yeux ne la trouvent pas, cependant mon odorat a repéré son sang dans l’hôpital qui se situe tout près. Ce n’est pas ici que tu m’échapperas ma jolie. Je me rapproche progressivement de la lycéenne, elle le sait, et elle en est effrayée. Finalement elle décide de se cacher dans une chambre pour patient encore inoccupée. Parfait, elle me facilite la tâche. J’entre à mon tour, referme la porte derrière moi et attends qu’elle décide de se montrer. Les secondes passent et elle continue de me faire croire qu’il n’y a personne en ce lieu. Ridicule.
- Un placard pour cachette. Pathétique. Tu n’es pas dans une partie de cache-cache ma belle, ici il s’agit plutôt d’un jeu de vie ou de mort.
Elle pousse brusquement les portes du placard et courre vers la porte de sortie. Je l’attrape au passage par la gorge, la plaque violemment contre le sol et alors que je sens son petit souffle m’effleurer la joue, je lui murmure à l’oreille une dernière parole.
- Game over.
Un craquement se fit entendre, et la nuque de celle-ci était déjà brisée. Voilà ce qu’il en coûte de me contrarier. Je me redresse alors, arrange mes vêtements et nettoie ce sang sale qui a atteint ma peau. Je quitte finalement la pièce, refermant la porte derrière moi et affichant déjà un sourire à l’idée du visage de l’infirmière qui découvrirait ce corps. Cependant je n’avais pas pu être rassasié, et tout le monde sait à quel point un hôpital peut ouvrir l’appétit d’un vampire. Je n’avais cependant pas envie d’une poche de sang. Je voulais un humain, que ce soit un médecin, une infirmière ou même un blessé je m’en fichais, je prendrais la personne qui me semblerait avoir le meilleur sang. Alors que je m’avance dans les couloirs, j’aperçois une jeune femme blonde un peu plus loin. Elle me paraissait plutôt appétissante. Je pouvais très bien lui planter mes canines dans son cou, là tout de suite, mais non, je voulais l’attirer à moi d’une manière plus subtile. Alors que mon regard ne la quitte pas, je m’avance vers elle et provoque de manière intentionnelle un bousculement que je ferais bien sûr paraître comme un simple égarement de ma part. Technique classique mais efficace. Alors que nos corps se heurtent, le sac de celle-ci tombe par terre et je me retourne enfin vers elle pour l’aborder.
- Veuillez excuser ma conduite, j’ai tendance à oublier qu’il y a du monde autour de moi.
Je me baisse et lui ramasse son sac que je lui rends immédiatement en main propre. J’espère que ma méthode aura fonctionné et qu’elle ne remarquera pas qu’il s’agit simplement d’une manière comme une autre d’entrer en communication avec elle. A présent que le premier contact avait été établit, il ne me restait plus qu’à mettre en œuvre la partie drague du plan, ce qui ne serait pas bien difficile pour moi.
- Puis-je connaître le nom de la sublime jeune femme que je viens de heurter ou serait-ce trop d’honneur à m’accorder ? |
| | | Charlie Rosenberry Humain
Messages : 87 Date d'inscription : 04/12/2011 Age : 30 Localisation : Mystic Falls
| Sujet: Re: Même les plus belles créatures regorgent de sang [Charlie] Jeu 22 Mar - 11:27 | |
| Je sèchais, je sèchais, je sèchais. Non pas le linge et encore moins les cours, ce n'était pas vraiment comme si je pouvais me le permettre. Mais coté vampires, loups-garou, meurtre sanglant, et tout qui pouvait s'approcher de près ou de loin au surnaturel semblait me fuir. Non pas que cela m'ennuyait vraiment... Si je pouvais éviter de me retrouver avec une paire de crocs dans la nuque, ça m'arrangeait tout autant. Mon espèrance de vie devait grimper ces dernières semaines. Mais je m'étais rendue compte que... comme une droguée, je n'avais rien d'autre. Sans vouloir tomber dans le mélodrame, je n'avais plus de famille. Ou alors une cousine éloignée, très éloignée, qui semblait attirer les vampires comme une bouse de vache attirait les mouches. Oh, et comment oublier. Une ancêtre également. Du doux nom de Katherine Pierce. Mais, elle était, comme dire... Pas trop du genre mami gâteau. Et puis il y avait Damon. Je savais qu'il tenait à moi, il savait que je tenais à lui. Mais ça ne me suffisait pas. En même temps, voir Damon faire du babysitting, ça casserait un peu le mythe.
Mes parents, ma chère grand-mère... Ils étaient tous partis. Non, pas question que je devienne une de ces personne qui se cachait derrière des mots faciles. Ils étaient morts. Et ma seule raison de vivre était devenu la cause de leur mort. Je pensais qu'en me rapprochant d'Elena, je pourrais en apprendre davantage sur Katherine. Qui sait, même la retrouvée. Car je savais, grâce à mes longues années de recherches, que c'était à cause d'elle que mes parents avaient été violement assassinés.
Non, il ne me restait plus grand chose. Quelques miettes de souvenirs, quelques bribes de bonheur. Ce après quoi je courrais, à présent, ce n'était plus l'amitié, l'amour ou ma famille. Non, je courrais après ma vengeance. Et j'en avais besoin, autant que l'air que je respirais. Et pourtant, j'avais l'impression de patauger. J'étais là, à Mystic Falls, le repaire de tout ce qui avait des crocs, des dents longues et des envie de meurtre toutes les trentes secondes, et je ne trouvais rien. Rien. Je ne pouvais pas continuer comme ça.
Croire que ma vie pouvait devenir normale, que je pouvais aller au lycée, avoir des mauvais points, me faire des amis, raler sur les profs. Je ne pouvais pas me permettre ça. Ce serait surréaliste, hypocrite.
J'avais donc décidé de me rapprocher encore, si c'était possible, de mes premiers informateurs : les vampires. Et pas les tueurs compulsifs, je tenais à ma vie. Après avoir un peu tergiversé (très très peu de temps, je l'avoue), je décidai de virer vers l'hopital. Là, au moins, si j'avais la chance de croiser un moustique sur ses deux jambes, je risquais moins de me faire égorger. La plupart y venaient pour voler des poches de sang. Peut-être que c'était stupide. En réalité, ça l'était sûrement. Je cherchais les ennuis, et peut-être même la mort... Mais quelque part, je m'en foutais.
Je commençai par me présenter comme une petite fille venant rendre visite à sa grand-mère. Le coup marche à chaque fois. Dès que les infirmières et les médecins disparurent de ma vue, je me glissai dans les couloirs, frolant les murs blancs aux odeurs de désinfectant. Dieu comme je détestais les hopitaux.
Tandis que que je guettais la porte qui menait au stock de poches de sangs, je percutai un inconnu, assez violement pour que mon sac se renverse aussitôt. Mauvais plan. Trèèèèès mauvais plan. Tout à mes questionnements sur le nombre de pieux qui devaient actuellement recouvrir le sol nickel monsieur propre de l'infirmerie, je n'avais même pas fais attention à l'homme en lui-même.
- Veuillez excuser ma conduite, j’ai tendance à oublier qu’il y a du monde autour de moi.
Je levai mes yeux bleu azur vers l'inconnu, une fois m'être assurée que rien de compromettant ne jonchait le sol. Etrange façon de parler, soit dit en passant. On aurait dis qu'il sortait tout droit d'un vieux film sur la renaissance. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas entendu quelqu'un d'aussi poli.
- Mais 'y a pas de mal.
Sans que j'ai eu le temps de prononcer une syllabe de plus, il se pencha pour ramasser mes affaires étalées. Mmh. La politesse, je pouvais encore accepté. Mais la gentillesse gratuite, CA, c'était très suspect.
- Puis-je connaître le nom de la sublime jeune femme que je viens de heurter ou serait-ce trop d’honneur à m’accorder ?
Mon premier réflexe fut de lever un sourcil dubitatif. Et ma première pensée aurait été de l'envoyer balader. Sauf qu'une petite voix, dans ma tête, me soufflait qu'un homme en recherche d'une jolie jeune fille à qui faire du charme, ne s'attarderait pas dans cet hopital. Surtout que bizarrement, il avait l'air d'aller très bien.
En quelques secondes, mon visage passa de la morosité et de la suspition à l'enchantement et à la sympathie.
- Comment vous refusez ça, alors que vous venez juste de m'aider, dis-je en partant dans un éclat de rire aussi faux qu'éclatant.
Je lui adressai un sourire en coin, passant une main calculée dans mes cheveux.
- Charlie. Charlie Rosenberry, poursuivais-je en lui tendant une main ferme. De l'autre, je vérifiai savamment que mon flacon de verveine était bien dans la poche de mon jeans. Dire que je n'en avais pas bu aujourd'hui. J'ignorais si ce jeune homme était un vampire, mais tout dans son attitude le montrait. C'était peut-être bien mon jour de chance. Ou pas. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Même les plus belles créatures regorgent de sang [Charlie] Jeu 5 Avr - 3:22 | |
| J’observais convenablement la jeune femme de la tête au pied tout en restant discret pour ne pas l’intriguer. Jeune, mignonne, une fine silhouette et elle semblait plutôt avoir un bon caractère. Effectivement, cette jolie blonde ferait une innocente victime idéale. Du moins elle l’aurait été si elle n’était pas au courant de l’existence des vampires... Ce qui différencie les originaux des autres vampires, c’est que nous avons des années d’expériences et que nous savons faire attention au moindre détail. En la regardant, j’avais pu constater que c’était une personne légèrement coquette, qui sait réfléchir mais dont l’impulsivité prend parfois le dessus sur sa conscience. A travers l’expression de son visage avant et après que je l’aborde, j’avais constaté une importante différence, passant de la suspicion au bonheur d’avoir trouvé ce qu’elle cherchait. Mais surtout, sans même qu’elle ne s’en rende compte, j’avais jeté un rapide coup d’œil dans son sac qui paraissait plutôt pleins pour ne contenir qu’un gloss et un miroir, et ô joie, un joli sac remplit de pieu pour tuer un vampire, quelle intéressante découverte. Avais-je affaire à une chasseuse ? Peut-être bien, mais de toute façon je n’avais rien à craindre d’elle, ce n’était pas de simples pieux qui seraient capables de me tuer. En revanche, celle-ci avait beaucoup à craindre de m’avoir trouvé. Je me doutais à présent que son sang soit remplit de verveine, je n’aurais donc qu’à la tuer comme ma précédente victime. Dommage, elle devait surement avoir un sang délicieux sans ce poison... La jeune femme m’adresse un sourire et passe une main dans ses cheveux, ce qui ressemble assez à une manière de me draguer. J’ai légèrement envie de rire, pas parce qu’elle est ridicule, loin de la, mais plutôt parce qu’elle opte pour la même manière d’approche que moi : la drague. Elle prend alors la parole et se présente enfin.
- Charlie. Charlie Rosenberry.
- Charmant patronyme. Le sens de votre prénom correspond à de très bonnes qualités soit dit en passant. Détermination, fidélité, intuition, méditation... Je suis persuadé que vous le portez très bien.
Je lui adresse à mon tour un sourire. Je cherchais moi-même à la mettre sur la piste du vampire. En effet, peu de personnes ont la connaissance des significations des prénoms, surtout à cette époque. Oui Charlie, tu as bel et bien un vampire en face de toi, mais que feras-tu à présent ? Tenteras-tu de me tuer directement ou as-tu un autre but en tête ? J’aimerais bien le découvrir.
- Je me nomme Kol Mikaelson, et j’aimerais vous inviter à quitter cet hôpital plutôt glauque pour faire plus ample connaissance dehors. M’accorderiez-vous cette faveur ?
En vérité ma question n’en était pas vraiment une. Elle m’accorderait cette faveur, qu’elle le veuille ou non, mais je suis persuadé qu’elle le fera par elle-même. Je voulais l’attirer ailleurs, l’éloigner de la population, bref me trouver seul à seul avec cette délicieuse jeune femme. Mon regard ne se détachait pas du sien, et intérieurement, je bouillonnais d’excitation car je venais de commencer une nouvelle partie qui s’annonçait très intéressante et pleine d’actions. |
| | | Charlie Rosenberry Humain
Messages : 87 Date d'inscription : 04/12/2011 Age : 30 Localisation : Mystic Falls
| Sujet: Re: Même les plus belles créatures regorgent de sang [Charlie] Mar 10 Avr - 3:47 | |
| - Charmant patronyme. Le sens de votre prénom correspond à de très bonnes qualités soit dit en passant. Détermination, fidélité, intuition, méditation... Je suis persuadé que vous le portez très bien.
J'élcatai d'un rire ravi comme j'avais vu faire les actrices de cinéma à la télé. Après tout, c'était un compliment. Venant d'un vampire qui n'avait sûrement qu'une idée en tête, me mordiller un bout ou l'autre, mais un compliment. "Détermination"... Ca, c'était une certitude lorsqu'il s'agissait de découvrir la vérité. Je soupirai intérieurement en me disant que j'aurais pu choisir de jouer un autre rôle que celui de la jeune fille charmeuse et charmée. Je n'avais jamais dragué de ma vie et je me savais aussi nulle pour ça que pour les mensonges. Et là, j'étais entrain de cumuler les deux. Alors soit ma couverture était éventrée depuis un bon moment, soit j'allais devoir supporter cela encore un bout de temps. Allez Charlie, tu es jeune, pas trop moche, use de tes charmes!
- Vous n'imaginez même pas à quel point.
Gloups. Je n'avais pu m'empêcher de glisser une pointe de sarcasme, que je tentais aussitôt de rectifier avec un sourire angélique. Je détestais jouer des rôles, bon sang que je détestais cela ! Je préferais encore qu'il essaye de me briser la nuque plutôt que ce petit jeux lent et haletant.
Le jeune m'adressa un sourire dans lequel se trouvait bien plus de révélations que dans mes petites erreurs. Malheureusement, je n'avais pas l'expérience d'une chasseuse de vampire, ni la force d'un loup-garou. Alors oui, je savais qu'il était un vampire. Cool. A quoi cela me menait ? Je me rendis compte que j'étais entrain de mener une espèce de mission-suicide complètement surréaliste. Mais au point ou j'en étais, quitte à se faire bouffer, autant le faire en beauté.
- Je me nomme Kol Mikaelson, et j’aimerais vous inviter à quitter cet hôpital plutôt glauque pour faire plus ample connaissance dehors. M’accorderiez-vous cette faveur ?
Mikaelson.. où avais-je déjà entendu ce nom? Je balayai mes interrogations face à sa proposition. Bien qu'il pourrait m'arracher le coeur en moins d'une seconde ici-même, il souhaitait m'éloigner de l'hopital. Je sentais la peur et l'angoisse pulser dans chacunes de mes veines, en même temps que l'adrénaline montait. Là, pour une fois, je pouvais réellement dire que c'était une question de vie ou de mort.
Je fis mine de réfléchir quelques secondes à sa proposition, un doigt sur les lèvres, le regard dans le vide. Puis, j'acceptai, dans un sourire éblouissant. J'aurais pu prétexter que ma grand-mère malade m'attendait au coin du couloir. Ou que je devais passer des examens dans quelques minutes. Etais-je folle ? Sûrement... Prions maintenant pour que comme dans les films, ce soit les fous qui s'en sortent.
J'étais nerveuse. Alors, comme d'habitude lorsque j'étais nerveuse, je commençai à papoter du temps, du mauvais temps surtout, qui grisait les rue de Mystic Falls et déprimait les âmes en peine. Je babillais ainsi jusqu'à ce que nous soyons sortis de l'hopital. Nous parcourîmes encore quelques mètres, et soudain, les rues se vidèrent. Je compris pourquoi en levant mon visage vers les cieux : encore une de ces averses surprises et violentes. En un seconde, je fus trempée, les cheveux dégoulinants.
Je courus sous l'abris d'un magasin fermé depuis des semaines. Il ne faisait pas vraiment froid, mais je détestais la pluie. Je me tournais vers Kol Mikaelson, et fus surprise de constater à quel point nous étions seuls, tout d'un coup, dans cette rue déserte, isolés par la pluie et le brouillard. La scène semblait irréelle, poussièreuse. Je levai mes yeux claires vers les siens. C'était à ce moment précis qu'il téiat censé me tuer. Lorsque la proie était isolée. Soudain, je me rappellai où j'avais entendu, ou plutot lu ce nom. Mon coeur rata un battement. Je décidai alors de jouer le tout pour le tout.
- Mikaelson.. Un nom recelant également beaucoup de qualités, n'est-ce pas ? Persévérance, ambition, longévité.
Mon visage avait abandonné toute trace de séduction (s'il y en avait eu un jour), et mon corps semblait sous tension. Mes bras ballants le long de mon corps étaient parés à toute éventualités, même à sortir la seringue de verveine coincée dans ma poche.
- Et si nous faisions tomber les masques ?
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